19 septembre 2023
Année :
Demandeur :
Stagiaire :
Établissement :
Courriel :
htamim@yorku.ca
Numéro de projet :
2010006
État d’avancement du projet approuvé :
Résumé du projet
Nous vivons dans une société mondialisée active 24 heures sur 24, dans laquelle des services, des produits et des divertissements se consomment à toute heure de la journée. Conséquemment, de plus en plus de personnes travaillent par quarts. À l’heure actuelle, un Canadien sur quatre travaille lors de quarts se déroulant en dehors des heures normales de travail. Par ailleurs, le nombre de travailleurs âgés augmente dans la plupart des pays développés, y compris le Canada, en raison du vieillissement de la population active. En plus des données physiologiques et épidémiologiques sur les relations alarmantes entre le travail par quarts et divers effets sur la santé physique, sociale et mentale, il existe des raisons de croire que le travail par quarts pourrait devenir un problème majeur de santé au travail dans un futur proche. Cette étude analysera les données de cohorte de l’Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement (ÉLCV) afin d’examiner les associations entre le travail par quarts et trois résultats spécifiques liés à la santé des adultes d’âge moyen et des aînés, c’est-à-dire les variations dans l’âge de la ménopause naturelle, la fragilité et les fonctions cognitives.
Résultats du projet
Nous vivons dans une société mondialisée active 24 heures sur 24, dans laquelle des services, des produits et des divertissements se consomment à toute heure de la journée. Conséquemment, de plus en plus de personnes travaillent par quarts. À l’heure actuelle, un·e Canadien·e sur quatre travaille selon des quarts se déroulant en dehors des heures normales de travail. Par ailleurs, le nombre de travailleur·ses âgé·es augmente dans la plupart des pays développés, y compris le Canada, en raison du vieillissement de la population active. En plus des données physiologiques et épidémiologiques sur les relations alarmantes entre le travail par quarts et divers effets sur la santé physique, sociale et mentale, il existe des raisons de croire que le travail par quarts pourrait devenir un problème majeur de santé au travail dans un futur proche. Cette étude analysera les données de cohorte de l’Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement (ÉLCV) afin d’examiner les associations entre le travail par quarts et trois résultats spécifiques liés à la santé des adultes d’âge moyen et des personnes âgées, c’est-à-dire les variations dans l’âge de la ménopause naturelle, la fragilité et les fonctions cognitives.