En savoir plus sur les facteurs qui modifient ou facilitent les associations sensoricognitives dans l'ÉLCV

Année :

2024

Demandeur :

Mick, Paul

Établissement :

Université de la Saskatchewan

Courriel :

paul.mick@usask.ca

Numéro de projet :

2401012

État d’avancement du projet approuvé :

Actif

Résumé du projet

Le déclin cognitif (qui fait partie du vieillissement normal) et la démence (qui est un syndrome lié à l’âge) sont responsables d’une grande partie de l’inconfort, du handicap et du recours aux soins de santé chez les personnes âgées. Le déclin cognitif et la démence pourraient être évités en s’attaquant aux facteurs de risque modifiables. Par ailleurs, la perte auditive est courante et fortement associée au déclin cognitif et à la démence. Un essai récent a démontré que le traitement de la perte auditive (à l'aide d'appareils auditifs et de conseils) améliorait la cognition à long terme des participant·es qui semblaient présenter un risque plus élevé de déclin cognitif (parce qu'ils/elles avaient un niveau cognitif, un statut socioéconomique et une santé cardiométabolique inférieurs au début de l'étude). étude). Bien que l’essai ait laissé entendre que certaines conditions sociodémographiques et sanitaires pourraient influencer l’effet de la perte auditive sur la cognition, on ne sait toujours pas quels facteurs pourraient conférer résilience et vulnérabilité. Notre étude vise à identifier ces facteurs.