Année :
Demandeur :
Établissement :
Courriel :
meghan.mcdonough@ucalgary.ca
Numéro de projet :
180605
État d’avancement du projet approuvé :
Résumé du projet
L’activité physique est importante pour maintenir et améliorer la santé et l’autonomie. Toutefois, la plupart des personnes âgées ne suivent pas les recommandations en matière d’activité physique. Les personnes âgées qui ont davantage de soutien social ont tendance à être plus actives, ce qui porte à croire que le soutien social est un moyen important de promouvoir l’activité physique. Cependant, nous ignorons quelles formes de soutien poussent à faire de l’activité physique, en particulier au sein des groupes vulnérables. Cette étude transversale tentera d’identifier quels facteurs de soutien social évalués à l’ÉLCV permettent de prédire l’activité physique chez les adultes de 65 ans et plus. De plus, elle tentera de déterminer si lesprédicteurs d’activité physique sont similaires ou différents d’un groupe vulnérable à un autre, notamment chez les personnes qui vivent seules, celles qui ont un faible revenu, celles qui appartiennent à une minorité ethnique, les immigrants, les femmes, les personnes LGBTQ et les aidants naturels.
Résultats du projet
Le soutien social est associé à une plus grande activité physique chez les personnes âgées. Cependant, il existe de nombreux types de soutien, et nous ne savons pas quels types sont les prédicteurs les plus forts de l’activité physique, ni si ces prédicteurs clés varient pour les personnes appartenant aux populations présentant un risque accru d’isolement social. Cette étude a tenté de déterminer laquelle des neuf formes de soutien social prédisait l'activité physique chez les adultes de 65 ans et plus, et si les prédicteurs significatifs de l'activité physique variaient en fonction de huit indicateurs démographiques de risque accru d'isolement social. Le fait d'avoir un réseau social plus vaste et plus de contacts avec les membres de ce réseau, ainsi que de participer à un plus grand nombre d'activités sociales, prédisaient une plus grande activité physique. Par contre, le fait d'être dans un partenariat domestique et le soutien tangible étaient négativement associés. Certains de ces prédicteurs variaient selon le sexe, les conditions de logement et le revenu. De multiples formes de soutien social doivent être envisagées dans les interventions de soutien social afin d'améliorer l'activité physique, mais elle doivent également être adaptées pour répondre aux besoins des différentes populations.