Les différences entre les groupes pour les profils de risque cardiovasculaire ont-elles un impact sur l’effet des interventions sur la cognition axées sur le mode de vie?

Année :

2023

Demandeur :

O’Connell, Megan

Stagiaire :

Grewal, Karl

Établissement :

Université de la Saskatchewan

Courriel :

megan.oconnell@usask.ca

Numéro de projet :

2301011

État d’avancement du projet approuvé :

Actif

Résumé du projet

Les facteurs de risque cardiovasculaire et les maladies des vaisseaux sanguins cérébraux sont liés au fonctionnement cognitif et à la démence. Toutefois, la prévalence des maladies cardiovasculaires et des facteurs de risque n’est pas uniforme d’une population à l’autre. Par exemple, la prévalence de l’hypertension artérielle est différente entre les Asiatiques de l’est et du sud-est. Les interventions mises sur pied pour les maladies cardiovasculaires visent notamment des facteurs liés à un mode de vie sain qui en réduisent les risques, comme une alimentation saine et équilibrée et la pratique d’exercices. Plus les individus peuvent modifier les facteurs de risque cardiovasculaire, moins il est probable qu’ils présentent un déclin cognitif global ou qu’ils reçoivent un diagnostic de démence. Nous souhaitons tenter de déterminer si la participation à des interventions axées sur le mode de vie sain est liée à des changements dans la cognition dans divers sous-groupes de l’Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement (ÉLCV) et si ces changements sont influencés par les différents profils de risque cardiovasculaire des participant·es de différents horizons et de différents sexes.