Étude longitudinale des effets de l’environnement bâti urbain (verdure, bruit et potentiel piétonnier) sur la dépression, l’anxiété et la bonne santé mentale des personnes participant à l’Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement

Résumé du projet

Certaines caractéristiques de l’environnement urbain naturel et bâti (espaces verts, quartiers calmes et praticables à pied) pourraient avoir un effet favorable sur la santé mentale. La prévalence de la dépression et de l’anxiété augmente au Canada, et cette tendance a été exacerbée par la pandémie de COVID-19. En ce moment, on constate de nombreuses lacunes dans la recherche sur les effets de l’environnement bâti urbain sur la santé mentale. Il y a notamment un manque d’études longitudinales sur la causalité, d’études sur les populations vulnérables (personnes âgées et malades) et d’évaluations des éléments modificateurs (sexe, revenu, âge). Peu d’études portent sur ces associations durant la pandémie, période où l’environnement bâti immédiat pouvait exercer une influence accrue sur la santé mentale. Ce projet vise à étudier de façon longitudinale les effets de changements aux caractéristiques de l’environnement bâti (verdure, potentiel piétonnier et bruit) sur la santé mentale avant et pendant la pandémie.